ESB3D

ESB3D Ecole Super Bien de Design, de Design et aussi de Design

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ESB3D

Bordeaux
France
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http://esb3d.blogspot.fr/

Description

L'ESB3D est une fiction... C'est l'histoire inventée d'une école d'arts tentaculaire, magnifiquement dirigée par Ulrich Bassinet, manager commercial zélé aux goûts douteux, qui a vite compris que l'engouement, relayé par les médias, pour les disciplines artistiques et surtout le DESIGN représente un marché porteur très lucratif. C'est un conte inspiré qui présente toutes les composantes d'un empire créé pour attirer toujours plus de monde et n'entretenir qu'une seule richesse, dans lequel des organismes satellites privés (IPAD, ITSDI) et "semi-publics" (CRIFPF) sont tout autant capables d'apporter des financements que de soutenir le discours persuasif de l'ESB3D. C'est une histoire, drôle parfois, d'un établissement qui promet à tous de devenir le designer de demain... dans un monde où le design n'est pensé qu'en fonction d'un marché... de l'inutile autant que faire se peut. L'ESB3D décrit le système d'un établissement qui consomme toujours plus de moyens de publicité qu'il n'est capable d'en produire. Un système bien ficelé usant de méthodes assez complexes pour être capable notamment de faire financer par un tiers et d'assurer par son propre réseau la formation... de ses formateurs... C'est aussi le récit un peu triste d'une école qui prend chaque année dans ses larges "filets" beaucoup d’étudiants mal orientés en sachant pertinemment que les 3/4 assurent grassement le financement des moyens de formation du quart restant mais aussi les besoins en communication nécessaires à la "pêche" de l'année suivante. Dans un monde où les troisièmes vérités sont devenues rares et où le doute n'est plus permis, nous avons facilité la compréhension de ces pages en créant notamment le personnage d'Ulrich Bassinet et de sa femme Opportune, véritables caricatures de managers commerciaux véreux et vénaux, facilement détestables... Les tarifs sont aussi grossièrement démesurés, les enseignements passablement risibles d'inutilité... Mais que penserait-on d'eux et de leur empire s'ils étaient apparemment sincères et donnaient toujours l'impression à leurs chers "clients" qu'ils font un bon "placement"? S'il fallait toujours lire entre les lignes ou lire les plus petites pour découvrir que tout est orienté vers une rentabilité sans faille et indécente pour laquelle des parents soucieux et des élèves mal informés restent un public à capter, une aubaine à exploiter. A travers ses pages, l'ESB3D dénonce principalement: - Des effectifs pratiqués par certaines écoles d'art, souvent largement supérieurs à 25 élèves par classe. - Des moyens de communication mis en place pour assurer ces mêmes effectifs... certainement supérieurs à 100 000 €/ an (mais c'est un secret que vous aurez du mal à percer). - L'absence totale de sélection à l'entrée de ces écoles de Design pour atteindre plus facilement ces "objectifs de recrutement". - Un nombre d'heures de formation dispensé, souvent inférieur à 600 h dans l'année. - Des tarifs et frais d'inscription, souvent supérieurs à 5000€/an pour des conditions d'enseignement inspirées de l'élevage en batterie - Des temps d'étude artificiellement étirés sur plusieurs années ( il suffit de faire moins d'heures par année !) avec chaque fois de nouveaux diplômes et objectifs à décrocher. - Des programmes de formation inadaptés, dépassés, inutiles, incohérents, davantage calqués et optimisés pour faciliter l'accès à des systèmes de financements publics que pour répondre à des choix pédagogiques. - Des intitulés de formation et titres de diplôme calés sur des modes médiatiques et rédigés comme des marques de produit de consommation. - Le manque de responsabilité de ces écoles consistant à "former " puis déverser chaque année sur le marché du travail une population nombreuse de "designers" et "graphistes" motivés dans un monde professionnel déjà saturé par les recalés qui persistent, les anciens qui résistent, les autodidactes qui subsistent... A l'heure où certains appellent à une communication responsable, les écoles d'arts semblent ne pas vouloir entendre la nécessité de réduire le nombre de leurs inscrits... - Des tarifications parasites, habilement dissimulées, qui permettent de gonfler des budgets déjà indécents en multipliant les fausses nécessités et autres figures imposées. Frais d'entretien d'inscription, frais d'impression (30 fois supérieures à leur coût réel), fournitures scolaires négociées auprès de grossistes et revendues après l'application d'une marge bien entendu indispensable... On n'est plus à ça près. - L'emploi abusif du mot Design, à toutes les sauces et pour toutes les formations, parce que ce mot anglophone donc très cool semble être le premier gage de qualité et le dernier argument de vente. Ce mot magique sonne pourtant aussi faux qu'il n'arrive à trouver de définition, ou, du moins à retrouver sa définition, autrefois, autrefois humaniste... Un système entretenu par ces écoles dans lequel la formation est un produit, l'argent une finalité et le Design une valeur ajoutée. Pour aller plus loin: La formation professionnelle, le grand détournement: - http://www.youtube.com/watch?v=4Tna8VQv5sI Dans nos pages, ce "seul" problème n'est évoqué qu'à travers la Crifpf et le personnage d'Opportune. Aux Etats-Unis, la dette étudiante est estimée à 1000 milliards de dollars. 1000 milliards de dollars... http://www.arte.tv/fr/usa-dette-des-etudiants-la-prochaine-bulle/7017750,CmC=7017756.html Bien entendu, de tels chiffres sont impensables en France... Comme toujours, à critiquer le super bien mais super méchant modèle américain, on se contentera de l'approcher au plus près en le modulant dans une exception française tout en se défendant de le copier parfaitement. En France, à quel niveau peut-on déjà estimer la dette des seuls étudiants des écoles privées dont les programmes surfent davantage sur des modes médiatiques plutôt que sur les réalités du marché du travail? La course au diplôme, insidieusement renforcée par la peur du monde professionnel, n'est elle pas déjà engagée? En tout point le modèle de la "University of Phoenix" est de loin le but à atteindre d'Ulrich Bassinet. Nous ne connaissions pas l'existence d'une telle "école" avant d'entreprendre le projet ESB3D. Nous avions pourtant relevé depuis longtemps l'émergence de cette bulle en France. A côté de cet exemple, les tarifs, les effectifs et les moyens des formations de l'ESB3D font figure de pâles réalités... Comprendre les abus de la formation -------- Enfin, l'ESB3D est notre propre garde fou que nous avons créé pour ne pas nous éloigner de notre but premier. Nous ne sommes pas d'anciens élèves de ces écoles d'art qui ressemblent tant à l'ESB3D, que l'amertume d'avoir échoué dans leurs études aurait poussé à écrire tout et n'importe quoi au nom d'une vengeance stérile... Nous sommes nous même l'équipe dirigeante d'une école d'arts, un modèle rare voire unique qui existe depuis 2004. Nous ne touchons aucune subvention et essayons de faire notre métier correctement. Nous sommes l'ESAA Aquitaine. http://www.esaa-aquitaine.com/nos-differences/un-modele-unique.html Laurent et Olivier Giboulot

Specialities

Price category
$$$$ (50+)

Company Rating

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Summary

ESB3D is Bordeaux based place and this enity listed in Graphic Design category.

School category, Bordeaux

Digital Campus Bordeaux
20 quai Lawton CS50100 33070 Bordeaux Cedex Bordeaux 33070 France

1er réseau d'écoles du Web et du Multimédia en France

Cours Galien Bordeaux
Bordeaux null France

Academy Spa
161 rue Guillaume Leblanc Bordeaux 33000 France

Présent depuis plus d'un siècle au cœur de Bordeaux, Academy Spa est une référence régionale pour ces formations en coiffure et esthétique.